Source : reporterre.net
Pour faire face à l’explosion de la pauvreté et à l’inflation qui rend inabordables les importations, des agriculteurs et activistes développent une filière bio. Encore à une échelle très réduite et largement subventionnée par l’aide internationale, elle suscite néanmoins un intérêt grandissant.
Face à la crise sociale et économique que traverse le Liban, les citoyen·nes ont décidé d’agir et de prendre leur destin entre leurs mains. Iels s’organisent de manière locale et efficace au travers de l’agroécologie. Stabilité des prix, rationnement suffisant, opportunités d’emploi et formations sont quelques réalités offertes par la ferme Buzurna Juzurna (« nos graines, nos racines » en arabe).